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02 janvier, 2012

Back to the Origins

Hello la compagnie !

Les touches de mon clavier et moi-même nous rassemblons pour vous souhaiter une bonne et heureuse année \o/ !
Que les petits poneys veillent sur vous, et que le bonheur et la santé inondent votre quotidien \o/ !

En attendant, j'espère que le père nowel vous a gâté.
Et avec un peu de chance, il aura déposé sous votre sapin (synthétique, en papier ou en vrai peau de sapin) un jeu vidéo, disons... à tout hasard... Rayman Origins =D
Si c'est le cas, vous avez donc entre les mains un jeu tout simplement grandiose !


Aujourd'hui je vais donc vous causer de ce jeu découvert en cette fin d'année 2011.
Il n'a malheureusement pas fait l'objet d'une promotion aussi grande que ce qu'on a pu voir pour le dernier Assassin's Creed, et ne connaît sans doute pas le succès qu'il mérite pourtant.
Je n'ai pas de chiffres en tête... mais plutôt les musiques composée par Christophe Héral.
Après le vide laissé dans mon petit cœur par Beyond Good & Evil, et dont le deuxième volet est trèèèèès attendu, allumer le jeu est entendre cette BO, c'est juste incomparable TwT


Bon c'est ma première critique d'un jeu vidéo, ça va déjà être un pavé alors je vais essayer de ne pas trop aller dans les détails non plus ^^'

Pour ce qui est de la musique donc... rien à redire, les différentes ambiances selon les mondes sont superbes, et les thèmes Mariachi à la Dexter chanté par des Chipmunks sont très très chouettes XD
Et je suis particulièrement fan du morceau "Whistle Glouglou", que l'on découvre dans le monde aquatique composée d'un simple sifflement (comme le titre l'indique) accompagné par un air au ukulele.
Comme j'ai craqué en voyant la boîte chez la "Fennec", on peut remarquer le pitit coffret collector dans mon salon.
Il coûtait au même prix qu'un Sonic Generations édition normale, ce qui est raisonnable pour un collector.
Bref, dans ce coffret, il y a donc la BO, un petit CD comptant 36 petits trésors de compositions.


Dans ce coffret il y a aussi un petit artbook.
Pas absolument extraordinaire mais sympatique quand même.
Ce qui fait une bonne transition pour parler du graphisme de ce jeu ^^
Pour une grande fan des premiers jeux Sonic, sur Mégadrive, la plateforme 2D c'est la vie !
Les graphismes de ce Rayman sont tout simplement splendides...
Avec le temps pourri qu'on se paie entre l'automne pluvieux et l'hiver sans neige où il fait nuit à 17h, les couleurs vives et ensoleillées nous apporte notre nécessaire de vitamine accompagnant les UV d'une après-midi d'été, mais pas trop chaude quand même.
Les décors sont magnifiques et on ne se tape pas d'épilepsie avec des décors qui se confondent aux différents plans.
On est plongés à fond dans cet univers, y'a pas un oubli, pas un carré de blanc ou un pixel qui ne soit pas utile.
Bon par contre, il vaut mieux éviter les tout pitits perso turquoise au milieu de la forêt tropicale, parce que dès que l'on est en multijoueur, c'est quasi impossible de s'y retrouver ^^'



Un petit intermède pour parler maintenant de l'histoire, rien de bien compliqué.
C'est un petit scénar qui ne se prend pas la tête.
Rayman et ses potes se prélassent et grignotent.
En mode Disney, ils font donc chacun un peu de musique en ronflant, mangeant etc... un vrai orchestre.
Le bruit dérange la mégère du monde du dessous et décrète que c'en est trop, c'est plus possible !
Il est temps de sévir et elle décide alors d'envoyer des milliers de bestioles malfaisantes sur le monde !
Dans leur périple, les joueurs devront libérer des pin up volantes, oui ce sont des fées, dans chacun des mondes qu'il traverseront.
Niveau charadesign, elles sont superbes, et je n'en dirais pas plus sur elles pour pas spoiler =P


Le graphisme est réellement au service du gameplay ici, ce qui rend ce jeu particulièrement riche et dynamique.
"Où sont-ils allés chercher tout ça ? Pfouah mais comment ? T'as vu ça ? Mais d'où ?" c'est ce qu'on peut entendre dans notre salon quand les copains viennent jouer, entre deux fou rire.
Lorsqu'on joue seul, c'est moins fun mais très loin d'être sans intérêt.
Pour un jeu plateforme, on ressent bien la vitesse (encore un truc pour plaire aux fans de Sonic comme moi) et ça reste dur, on meurt rapidement, et tant mieux, ce serait trop facile sinon XD
On a droit à un cœur, si on le perd et qu'on est touché : t'as mouru ! et on reprend au dernier check point.
A plusieurs, lorsqu'on meurt on se transforme en grenouille qui voulait se prendre pour un bœuf (en bulle en fait) et il faut rejoindre un coéquipier pour qu'il nous libère (un peu comme dans le dernier Super Mario Bros sur Wii).
Mais contrairement à Mario justement, pas de colision ! On ne se pousse pas les uns les autres, mais rien n'empêche les accidents, puisque l'on peut se coller des baffes et jeter ses coéquipiers dans le vide à tour de bras : "Ah ben merci ! Je t'en prie, c'est gratuit !" =D
Rayman et Globox s'envoie donc des tartes bien joyeusement, volontairement ou non.
Certains profitent même du temps de chargement, où l'on patiente dans un décor tout en silhouette et très chouette, pour distribuer leur ration de patates... *regarde sa colocataire de travers* 


Nous avons donc testé le jeu sur XBox 360, mais il est également sur PS3 et Wii.
C'est rare que je juge un jeu comme indispensable, mais ce come back de Rayman dans la lignée du premier opus est un véritable petit bijou.
Bref tout ça pour dire que ce jeu est rempli de trésors, plein d’ingéniosité et d'humour léger, c'est vraiment un très grand jeu, par un très grand personnage qu'est Michel Ancel.

A la prochaine \o/

Ouu lali la glouglou...  Ouu lali la glouglou...  Ouuu lali la glouglouglouuuu...